avril 2023

(Review) Jean-Marie Guyau, La Morale d’Epicure et ses rapports avec les doctrines contemporaines

Henry Sidgwick’s Review Mind, Vol. 4, No. 16 (Oct., 1879), pp. 582-587.   Guyau’s work is an enlarged edition of the first part of an essay on “La Morale Utilitaire,” to which a prize was awarded in 1874 by the Académie des Sciences Morales et Politiques. His view of Epicureanism is not, in the main, quite so novel as the reporter of the Académie seems to have supposed; but his book may be cordially recommended to students of ancient philosophy as containing not only the most ample and appreciative, but also—in spite of some errors and exaggerations—the most careful and

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(Critique) Jean-Marie Guyau, La Morale d’Épicure et ses rapports avec les doctrines contemporaines

Une critique de Emile Boirac Revue Philosophique de la France et de l’Étranger, T. 6 (JUILLET A DÉCEMBRE 1878), pp. 513-522, pp. 646-648.   Dans un mémoire couronné par l’Académie des sciences morales et politiques, M. Guyau avait présenté l’histoire et la critique des théories utilitaires depuis Epicure jusqu’à nos jours. C’est la première partie de ce travail considérable qu’il publie aujourd’hui, refondue et complétée, en attendant la seconde dont il annonce la publication prochaine sous le titre de la Morale anglaise contemporaine (Evolution et Darwinisme). De même que Pascal, selon la remarque de Sainte-Beuve, a vu dans Epictète et

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(Article) Jean-Marie Guyau, Critique de l’idée de sanction

Revue philosophique de la France et de l’étranger, 15, 1883 (p. 243-281). L’humanité a presque toujours considéré la loi morale et sa sanction comme inséparables : aux yeux de la plupart des moralistes, le vice appelle rationnellement à sa suite la souffrance, la vertu constitue une sorte de droit au bonheur. Aussi l’idée de sanction a-t-elle paru jusqu’ici une

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(Review) Jean-Marie Guyau, Esquisse d’une morale sans obligation ni sanction

W. R. Sorley’s Review on Esquisse d’une Morale sans Obligation ni Sanction by Jean-Marie Guyau. Revue Philosophique de la France et de l’Étranger, T. 19 (janvier à juin 1885), pp. 319-328.   This is an interesting and valuable essay towards the establishment of a “scientific” ethics. The author, who is already favourably known for what he has done in recording the history of ethics, has now set himself to make material for that history.[1] He does not, indeed, break absolutely new ground, for Spencer, Simcox, Stephen and Höffding are among his predecessors. Yet he has ideas of his own, both

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(Critique) Jean-Marie Guyau, Esquisse d’une morale sans obligation ni sanction

Une critique de Emile Boirac sur Esquisse d’une morale sans obligation ni sanction de Jean-Marie Guyau. Revue Philosophique de la France et de l’Étranger, T. 19 (janvier à juin 1885), pp. 319-328.   La morale traverse une crise : cette nouvelle encore récente est déjà presque un lieu commun. A vrai dire, la crise menaçait depuis longtemps. On eût pu la prévoir, dès le jour où Descartes imposait à l’esprit humain cette règle de tenir pour suspecte toute idée, non examinée et pour douteuse toute idée obscure après examen. Est-ce parce qu’il la prévoyait lui-même que Descartes s’était fait une

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(Review) Nietzsche, The Thinker.

Wilbur Marshall Urban’s Review[1]   Perhaps the most melancholy phase of the storm and stress through which the English-speaking peoples have been passing is the Nietzsche horror which seems to have taken possession of them body and soul. It was not so long ago that Mr. Gilbert Chesterton, with that finality which so easily besets him, told us that the ‘superman’ makes any discussion absurd into which he enters, and most of us were well pleased with this sign of robust English sense. We were told that art is the last refuge of the overman and, never having taken art

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